C'est moins drôle pour eux, ça fait plus de 5 ans qu'ils viennent sur ce brise-lame durant quasi toute l'année.
Les gens du coin y sont habitués et sont heureux de les apercevoir.
Hélas, ce n'est pas la même chose pour les touristes qui ne distinguent pas la différence entre un animal sauvage et un chiot en train de faire des pitreries.
Bref, malgré les barrières de sécurité qui ont été mises autour du brise-lame et des panneaux d'explication demandant de ne pas les approcher et de les laisser tranquilles, le nombre de phoques s'est restreint, il ne reste que 4 gris et 1 blanc à ce jour