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25 août 2019 La protection de la biodiversité occupe aujourd'hui le devant de la scène. Le législateur s'en est emparée : Convention de Washington, loi de reconquête de la biodiversité, création de l'Office français de la biodiversité ... Mais cette législation est-elle adaptée ? Pour Jacques Urban, la réponse est clairement non !
Jacques Urban, agronome, nous propose donc une étude approfondie et très intéressante, sur l'importance négative d'une législation inadaptée dans le processus de conservation de la biodiversité en général. Il se présente comme agronome, disciple des anciens naturalistes de terrain, créateur d'un pépinière de collection, passionné d'oiseaux et d'aviculture.
Nous vous invitons à prendre connaissance de cette étude intitulée "La biodiversité victime de la législation ou la disparition assurée de notre patrimoine vivant" :
* en la téléchargeant au format PDF
* en la consultant au format "revue"
En voici l'introduction :
Ce petit document, certainement bien perfectible, et un modeste plaidoyer pour une prise de conscience collective quand à l'importance négative d'une législation inadaptée dans le processus de conservation de la biodiversité en général et de la biodiversité française en particulier, y compris des Outremers. Il est principalement à destination de toutes les personnes physiques (politiques, conseillers divers, journalistes, etc.), de tous les responsables des institutions publiques (ministres, députés, sénateurs, technocrates en tout genre, scientifiques, etc.) et de toutes associations qui, de près ou de loin, ont un lien avec la sauvegarde de la biodiversité. Bref il est à destination de tout ce qui, souvent, décide au nom de tous des règles à appliquer par le citoyen sur le patrimoine mondial de l'humanité sans, visiblement, en mesurer tous les effets.
Il a pour objectif de porter à la connaissance de tous les faiseurs d'opinion, décideurs de projets publics et autres législateurs, la part négative des législations inappropriées sur la biodiversité de la planète d'une part et d'autre part de proposer le développement d'un volet complémentaire plus efficient en terme de sauvegarde des espèces en danger en utilisant le potentiel économique, social et pédagogique que peut générer le vivant dans un territoire. Son but étant simplement d'exciter la curiosité, ce document ne se veut pas exhaustif. Peut-être vous choquera-t-il en totalité ou en partie mais son rôle et d'exposer et de dénoncer les contradictions, les incohérences et des abus d'autorité d'un pouvoir technocratique (peut-être pas si inconscient que ça) qui paralysent notre pays par des procédures et des discours normatifs légalistes brisant ainsi toute initiative qui permettrait de sauver ce qui peut encore l'être !
Son auteur est un agronome, disciple des anciens naturalistes de terrain, plutôt spécialisé en botanique, créateur d'une pépinière de collection, passionné d'oiseaux et d'aviculture, curieux de tout ce qui vit et surtout en colère de voir que le matraquage législatif décourage et même punit quiconque essaie d'enrayer l'extinction d'espèces qui pourraient pourtant être sauvées. Il n'est certes pas issu des grandes écoles de la République et sa connaissance empirique n'est donc pas que théorique. Il espère alors, par cette petite démonstration sans prétention aucune, qu'une personne médiatisée, un politique ou un journaliste influent, soit interpellé et porte ces arguments à la connaissance de tous. Si en plus on pouvait en parler régulièrement pour inverser la tendance, ce serait merveilleux, car jusqu'à présent, pas un mot sur la sauvegarde de la biodiversité, l'indifférence totale dans les médias et chez les politiques !
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La biodiversité victime de la législation
La protection de la biodiversité occupe aujourd'hui le devant de la scène. Le législateur s'en est emparée : Convention de Washington, loi de reconquête de la biodiversité, création de l'Office français de la biodiversité ... Mais cette législation est-elle adaptée ? Pour Jacques Urban, la réponse est clairement non !
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